parabole de l'ortie...

Bonjour !
Comme beaucoup de monde me demande cette parabole, je vais l'écrire ici, ce seras plus simple. Mais comme je n'ai pas beaucoup de temps, et pour que ce soit plus drôle, je vais le faire en plusieurs fois.
Il ne manque maintenant plus que la dernière partie:



De toute la forêt, l'ortie était dénigrée. Certains champignons rapportaient même que les jardiniers, ces humains qui s'occupaient des fleurs, l'appelaient "mauvaise herbe". Si même les humains le disent, ce doit être vrai! Se disait l'ensemble de la forêt. Cet être est mauvais!

Et voilà que l'ortie, cet être meurtrie
Son coeur lacéré, par une image dénigrée
Ère dans la tristesse.
Sa seule expérience qu’elle vie avec autrui est la haine. Comme tout échange, le jugement du mal.
Ainsi se comporte-elle avec son propre cœur. N’ayant acquis que l’expérience de l’agressivité, elle est agressive avec elle-même. Est n’est capable que d’émettre un jugement négatif à son égard. Faire du mal, se faire du mal, c’est sa seule expérience de communication.
Accablé par le jugement extérieur, étouffé par ces dires qui rumeurs, elle en vient à la seule vérité évidente : je suis un être mauvais .

Et c’est justement là que le cercle vicieux s’est édifié.
Elle ne sait pas s’aimer. Elle ne peut donc pas aimer l’extérieur de son âme.
Elle ne sait que se faire du mal. Elle ne peut que faire du mal.
Elle meurtrit autrui. Autrui meurtrie son image, et par son image meurtrie, elle contusionne son cœur.
Cercle vicieux dont on ne peut s’enfuir. Elle demeure prisonnière d’un jugement qui rumeur.

Un jour, petit Caillou vient à passer dans la contrée. Caillou est un être étrange. Bien qu’il soit tout jeune (on dit qu’il est arrivé il y a une semaine par la comète de 20H54) ; il demeure émerveillé en chaque instant par la beauté du monde qui l’entoure.
Son savoir est misérable devant l’érudition des grands instructeurs feuillus; Mais qu’importe, il est joyeux. Son savoir est misérable devant les connaissances des montagnes rassemblées; Mais qu’importe, il est heureux.

Quand il entra dans le bois, il ne dit mot. Son Sourire éclairait son visage. Bien évidement, tout le monde fixait cette frimousse. Mais ce que la forêt ne voyait pas, c’est ce cœur en paix. Ce que la forêt ne voyait pas, c’est que cet être était en unité avec lui-même.

Il s’avança lentement. (Sa petite taille l’empêchait d’enjamber facilement l’accidentellement du terrain). Lentement il s’avança de l’ortie.
Là, simplement, il lui murmura quelques mots : « moi, je t’aime bien. Tu as ta place dans cette forêt, et toi aussi tu apporter quelque chose à cette forêt ».

Aussi infime qu’une jeune pousse sort de terre, et avec autant de beauté qu’un rayon de soleil au sortir de la nuit, une pensée nouvelle s’installa dans une toute petite place du cœur de l’ortie. Non pas une repulsion, un jugement ou une condamnation. Non. Quelque chose de différent. Quelque chose que l’ortie n’avait jamais connu. C’est un sentiment bien autre, c'est comme si son coeur était une boule de vanille glacée. Et voila qu'on y verse du chocolat (à 80%) fondu encore chaud. Une chaleur rassurante et réchauffante.



Par l’amour de caillou, l’ortie avait maintenant une graine de vie en elle, et elle allait pourvoir commencer à s’aimer, et aimer le monde extérieur…

Quelles conclusions peut-on tirer de cette histoire ???

voila la mienne:

Dans cette forêt qui est notre société, la solution à bien des problèmes n’est pas le rejet, mais l’amour. Soyons petit caillou.

C'est sympa la parabole de l'ortie mais te connaissant Simon, j'ai peur que tu oublies de nous donner la fin... Ce serait dommage je suis intriguée.
Salut

Aller simon, donne-nous la suite!
Si c'est un feuilleton hebdomadaire je sens que ça va être long. Nous tiens pas en haleine trop longtemps, moi aussi je veux savoir ce que ça donne dans la version romancée, c'est à dire pas pour faire passer le temps à des pauvres marcheurs sur la route de Marienfeld!

Sofi a écrit:

c'est à dire pas pour faire passer le temps à des pauvres marcheurs sur la route de Marienfeld!

nous, on a eu droit à la parabole à minuit le soir dans les rues de Cologne après avoir attendu tout l'après midi !!

Alors Simon attention.... ne refais pas le coup de la messe à Nangy

On compte sur toi pour la fin de la parabole de l'ortie!!

(et ca fait des rimes en i hi hi hi )

La suite ! La suite !

Moi, j'ai même pas eu droit à la parabole de l'ortie... et oui, y'en a qui sont passé à travers les mailles du filet...

La fin de la parabole ?? moi aussi je la veu en fait je me suis toujours arreter au debut et ca commence a m'enerver de ne pa connaitre la suite alors simon depeche toi de nous la donner sinon je vais satturer ta boite mail....

ON VEUT LA SUITE !!!!!!

Bien, par la pression qui m'entoure,
Je me vois dans l'obligation d'avancer la parabole, un peu à la bourre...

La qualité n'est peu être pas au top,
Mais je l'arrangerais en faisant plus tard quelque chose de plus propre


au passage, si ça vous intérresse, voici un essai de version de la parabole de l'ortie. Elle à été abandonné car il ne faut pas que caillou soit un être inaccessible et à qui on ne pourras jamais ressembler:



Un jour, ancêtre Caillou vient à passer dans la contrée. Caillou est un être étrange. Bien qu’il ait vu se former le monde, le sol, les flots, les étoiles et la vie sur cette petite planète, monsieur Caillou, humble, ce contente de dire qu’il est vieux.
Son savoir dépasse de loin l’érudition des grands instructeurs feuillus, de loin toutes les connaissances des montagnes rassemblées.

Le renom de sieur Caillou précède bien évidement sa venue, et c’est toute le forêt qui commence à s’agiter en apprenant son approchée. On installa la forêt selon les catégories sociales de chaque herbes & arbres afin que les notables soient les premiers à voir maître caillou.

Quand il entra dans la forêt, il ne dit mot. Il s’avança lentement (quelques courbatures l’empêchait de faire ce qu’il voulait de son corp), lentement de l’ortie. Là, il lui murmura quelques mots : "tu as de la valeur à mes yeux, tu as ta place dans la forêt, et toi, tu peux aussi apporter à la forêt".






voila voila!
essayer de répondre à la question, n'hésitez pas à réagir, et bientôt, vous trouverez la fin de cette parabole!

enjoy

S!mon a écrit:

C’est un sentiment bien autre, son coeur à une boule de vanille glacée sur laquelle on verse du chocolat (à 80%) fondu encore chaud. Une chaleur rassurante et réchauffante.

[...]

La morale de cette histoire....?

C'est que quand ça ne va pas, qu'on se sent pas très bien, pas aimé, qu'on a pas le moral... il ne faut pas hésiter à s'offrir des petits plaisirs :

--> Boule de vanille avec chocolat (à 80%) fondant,




--> pain au chocolat tout chaud sortant de la boulangerie,




--> apfel strudel tiède avec une boule de vanille,

coucouc tou le monde.
la parabole de l'ortie à été mise à jour (toujour au début de la page).
J'attend vos avis, et l'enseignement qu'on peut en tirer.
à+


je retourne bosser

Bonjour tout le monde!!

Après la parabole de l'ortie...voici la parabole du petit lutin joyeux.

Bonne lecture à tous, et à bientot!!

L J (=Lutin Joyeux)

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Parabole du petit lutin joyeux


Dans une lointaine forêt, vivait une nombreuse communauté de lutins. Parmi eux se trouvait la famille Joyeux. Le fils aîné devint fort célèbre en s’occupant, avec six amis, d’une charmante jeune fille appelée Blanche-Neige. On les éleva même au rang de Nains pour les remercier de leur si grande générosité, et ils devinrent les fameux Sept Nains.

Le second fils, qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à son frère, ne pouvait supporter la tristesse. « On n’a qu’une seule vie, ne la gâchons pas ! », disait-il sans cesse.
Et il mettait tout son cœur à aider ses amis lutins à se pardonner, et à s’aimer comme des frères.
Très vite, tout le monde remarqua son talent et on l’appela le petit lutin joyeux.
Un beau jour, le petit lutin joyeux décida de partir visiter le monde. Quelle ne fut pas sa surprise de voir autant de personnes malheureuses sur Terre !


Cela le toucha tellement qu’il décida de redonner joie et bonne humeur à chaque humain triste qu’il rencontrerait. Ainsi, lorsqu’il croisa une jeune fille en pleurs sur le bord du chemin, le petit lutin joyeux fila chercher son compagnon au village voisin. Sans bruit, il s’approcha du jeune homme et lui murmura à l’oreille de partir le plus vite possible à la recherche de son amie. Quand le jeune homme eut retrouve la jeune femme, le petit lutin joyeux resta encore un peu, près de l’oreille du garçon, et il lui chuchotait de temps en temps une phrase réconfortante avec une pointe d’humour qui, dès que le jeune homme la prononçait, faisait apparaître un sourire sur le visage de la jeune fille.
Et le petit lutin joyeux continuait discrètement jusqu’à ce qu’elle cessa de pleurer. Alors, il s’en alla sas faire de bruit et fit de même avec chaque personne triste qu’il rencontrait.

Et n’oublie pas, si un jour la tristesse te gagne, ne te décourage pas : le petit lutin joyeux trouvera sûrement un moyen pour te réchauffer le cœur et te redonner le sourire…